Si une blonde sapée en rose et obsédée par son chihuahua a pu devenir avocate, pourquoi le Buffybot ne pourrait-il pas, à son tour, faire régner la justice ? C’est ainsi que le Buffybot s’est présenté au concours de la police, et l’a réussi haut la main.
Le chef de la police est comblé : « Enfin un agent qui exécute absolument tout ce qu’on lui dit, sans discuter et avec le sourire. Au début, j’avais des doutes : je me disais qu’un corps pareil dans l’équipe, ça déconcentrerait les gars. Mais elle n’a d’yeux que pour un type blond platine avec une gueule comme s’il s’était fait rouler dessus. »
Le parcours du Buffybot : un espoir pour chacun de nous
Vous ne pensiez pas que le Buffybot pourrait faire quelque chose de sa vie ? Souvenez-vous des mots de Desproges : « Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un bon entraînement, on peut en faire des militaires. » C’est exactement ce qui s’est produit pour le Buffybot. Quand on lui demande pourquoi elle a rejoint la police, elle récite avec conviction – et un sourire ravageur – ce qu’on lui a appris : « Pour protéger et servir les citoyens. »
Quand on lui demande pourquoi elle a vraiment rejoint la police, elle nous dit dans un clin d’œil : « Y a plein de mecs sexy et le son du gyrophare m’a toujours fait mouiller. » Quand on lui demande si la police est sexiste, elle répond : « du moment qu’ils ne parlent pas des femmes, ça va. La difficulté, c’est qu’ils sont pas forcément futés. Dans mon service, y en a trois qui pensent que l’eczéma est un joueur de l’équipe de France. »
On se sent tout de suite plus en sécurité.