Des milliers d’abonnés se sont ainsi précipités sur Doctolib, au même titre que ceux qui ont acheté des billets de train pour leur famille de dix personnes en s’apercevant lundi qu’ils l’avaient dans l’os.
« Privez-moi de mes amis, de pain, de ma carte Sephora, mais pas de mon abonnement Netflix ! nous confie Sarah, effondrée. »
« Nous interdire Netflix, et puis quoi encore ? nous répond Adrien avec indignation. Pourquoi pas nous empêcher de faire nos courses, pendant qu’on y est ? »
On n’a pas osé lui dire.